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Fondation Santé de l'Archipel

Famille Richard

C'est le cœur gonflé à bloc qu'on se lance à nouveau dans la VAGUE ! Gilbert : Caché sous ce casque de poils et cette robe de chambre léopard se cache le neveu et «presque 4e» à Jean. Toujours partant pour un «t’es pas game», il se baigne à tous les 1ers janvier depuis 2010. La rumeur court qu’il prévoit initier sa fille de 2 mois prochainement. Geneviève : Influencée plus souvent qu’autrement par son cousin et son frère dans leurs idées téméraires, la p’tite dernière de la famille se joint à la tradition du jour de l’an 5 ans plus tard, à ses 15 ans. Ne vous méprenez pas, c’est vraiment juste l’orgueil du «moi aussi je suis capable» qui la poussait à y aller, mais pas l’amour du froid! Jean-Simon : Tout comme Gilbert, il est un adepte des baignades hivernales depuis 2010. Il y a même une année où les deux se sont baignés à tous les mois, y compris dans la slush du mois de Février. Plaisant? Non. Revigorant? Absolument. Il est aussi le fier héritier de la fameuse phrase « Dune-du-Sud, tu-suite. » à Jean. Dolorès : Conjointe de Jean pendant 33 ans. Trop frileuse pour se baigner l’été, la seule fois de l’année que vous la verrez aller prendre une saucette est le 1er janvier. Il y a ben juste Vague d’Espoir pour qu’elle plonge plus que ses orteils dans l’eau! Christine : Le point en l’air de joie, elle est passée d’un «jamais de la vie que je vais y aller» avant Vague d'Espoir à un «jamais de la vie que je vais manquer ça» depuis. Christine est l’exemple parfait que c’est pas vraiment la tolérance au froid qui est importante, mais la motivation!
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